Jean Jacques Santucci, Sur la route des os
On l’appelle la route des os parce qu’on trouve encore ceux des prisonniers qui l’ont construite. Elle mène au territoire des Evènes, nomades éleveurs de rennes, dans un pays où le froid rend la vie très difficile, impossible. Y habiter n’est pas imaginable pour nous, citoyens des pays tempérés.
Rejoindre le Verkoyantsk (la région la plus froide du monde) en train depuis Moscou, séjourner sous une tente et arpenter la taïga gelée à la recherche des vestiges du goulag pour en revenir un peu plus riche de la sagesse des hommes, un peu plus lourd de leur folie.
+Ce qui a retenu l’attention du festival
La route des os continue de révéler les hommes qui l’ont construite. Dans la région la plus froide du monde, on suit Jean Jacques Santucci à la recherche des vestiges du goulag. Quelles sensations en ramènera t-il ? Que demeurera t-il de ce voyage au retour ?