Vivianne Roch, Passages
D’un pont à l’autre, d’une rive à l’autre, la rêverie s’installe, les anonymes se croisent… silhouettes perdues, écrasées. Solitude contrainte ou choisie ? Le lyrisme des grands espaces urbains devient plus intime grâce aux couleurs chaudes, aux lignes obliques. L’image se transforme, s’illumine, pour sublimer la ville, s’en imprégner, et nous la rendre enfin bienveillante.
+Ce qui a retenu l’attention du festival
Viviane Roch attrape l’immensité des espaces urbains et la croise aux silhouettes des anonymes. Sa série de photographies conte une ville enveloppante et bienveillante où les êtres humains se meuvent de façon naturelle, simple. Tranquilles. La solitude, apparente est-elle pesante ou bien bienfaisante et libératrice ?